Projets co-financés par la Commission Européenne dans le cadre de l’initiative « Euroclusters »
DREAM & SILICON EUROCLUSTER
Intégrés au programme européen pour la Marché Unique (SMP), les projets Euroclusters sont des initiatives stratégiques trans-sectorielles, interdisciplinaires et transeuropéennes de clusters conjoints.
Les 30 projets Euroclusters sélectionnés au niveau européen au sein de 14 écosystèmes industriels visent à accompagner les PME vers la transition verte, la transition numérique et le renforcement de la résilience de l’industrie européenne.
SCS est ainsi impliqué dans 2 de ces 30 projets, un dans la thématique « numérique » intitulé DREAM, et un dans la thématique « électronique », intitulé Silicon Eurocluster , avec plus de 75% du budget de chaque projet qui seront redirigés vers les PME européennes via des dispositifs de financement en cascade.
DREAM
SCS est le coordinateur du nouveau projet européen DREAM relative à l’écosystème numérique appliqué au secteur de l’industrie manufacturière. L’objectif est d’accompagner les activités des clusters à destination des PME afin de favoriser le déploiement de technologies numériques innovantes dans des secteurs industriels plus verts et davantage numérisés.
Rassemblant un consortium compose de 5 partenaires provenant de France, Belgique, Italie, Roumanie (Aktantis, Pôle Mecatech, MESAP, Cluj IT Cluster, G.A.C. Group), DREAM capitalise sur l’expérience réussie du projet européen précèdent IoT4Industry (2018-2020), déjà coordonné par SCS et qui a reçu le prix européen du partenariat de l’année 2020.
Le projet DREAM représente ainsi une opportunité supplémentaire de collaboration efficace basée sur cette expérience fructueuse qui a démarré dès 2018.
L’objectif principal de DREAM sera de renforcer la résilience et d’accélérer la transition vers l’économie verte et numérique, d’initier, de développer et de maintenir un partenariat stratégique à long terme au niveau de l’UE entre les entreprises (PME) des écosystèmes numériques et le domaine manufacturier.
DREAM mettra en place un mécanisme de financement en cascade à destination des PME avec des « innovation vouchers », afin de soutenir le déploiement de 35 projets du secteur numérique dans le contexte de l’industrie manufacturière, pour un secteur plus numérisé, en mettant l’accent sur la gestion efficace des ressources.
Le projet a été officiellement lancé à Sophia Antipolis dans les locaux de SCS les 12 et 13 septembre, avec la participation du consortium DREAM afin de coordonner les activités du projet, le rôle de chaque partenaire, la mise en place des activités et les premières étapes du projet.
SILICON EUROCLUSTER
SCS fait partie des dix clusters membres de l’Alliance Silicon Europe et implantés en France, Pays-Bas, Italie, Allemagne, Portugal, Autriche, Suède, Bulgarie et Espagne qui unissent leurs forces dans le cadre de ce nouveau projet, afin de renforcer le secteur électronique européen et favoriser la souveraineté dans l’industrie des semi-conducteurs. L’objectif est de contribuer au maintien de la souveraineté européenne dans les domaines de la microélectronique, des composants et des systèmes, tout en contribuant à un avenir plus vert, plus numérique et résilient en Europe.
En particulier, plus d’un million d’euros seront alloués aux PME dans le cadre d’appels à projets pour du financement en cascade (démonstration vouchers & green vouchers).
Les résultats attendus du projet :
- Création d’au moins 12 nouveaux produits et services technologiques pour améliorer les approvisionnements clés pour l’électronique et la microélectronique.
- Financement et développement de 12 projets d’innovation pour adopter des processus et des technologies dans l’économie verte et numérisée.
- Formation des personnes pour attirer les talents.
- Soutenir l’internationalisation de 15 entreprises.
- Faire bénéficier 300 entreprises, à différents niveaux, du projet Silicon Eurocluster
Les partenaires du projet, dont SCS, ont déjà commencé à travailler sur les premières étapes du projet, axées sur l’analyse du marché européen et de chacune des régions ; la préparation d’un rapport sur chacun des écosystèmes électroniques existants, ainsi que les industries et secteurs dans lesquels ils sont appliqués ; et la création et la mise en place d’une plate-forme « communautaire » pour trouver des fournisseurs d’électronique/microélectronique.
